Dans les rizières, ce n'est pas les opportunités qui ont manqué. Les habits traditionnels, le festival de couleurs qu'ils proposent ne peuvent qu’interpeller le photographe ! Et les femmes se prêtent volontiers au jeu... trop volontiers.
Les hommes, eux, sont moins familiarisés avec les objectifs des touristes. J'ai donc gardé le portrait du réceptionniste de l'hôtel de Sapa.
La photo pourrait d'ailleurs presque se passer de titre tant le contexte y est évident. Elle me semble répondre aux règles de composition attendues : tiers et structuration de l'image.
J'ai du faire un choix de cadrage. Me priver des horloges au dessus des noms de capitales et garder la ligne d'appui du comptoir ou m'approcher davantage. J'ai privilégié le premier pour la stabilité de l'image et pour ne pas multiplier les informations. Le sujet c'est le réceptionniste dans son contexte de travail, pas l'heure qu'il est ici ou là.
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